Faute de mieux, on laisse une 3e chance à ce bar en bas de chez moi. Son succès apparent reste un mystère que je tente une nouvelle fois de percer. On se prend des pintes (qui ressemblent à des 33) pour s’installer sur l’une des tables libres. Il est 22h30+, on est 3 mais il y a largement la place sur des tables de 2 sans gêner qui que ce soit. Vraiment.
On finit par s’installer mais le « gérant » nous tej : le mec se prend pour un restaurant, préférant laisser des tables libres pour de potentiels clients qui ne viendront jamais. C’était écrit quelque part dans sa charte du parfait gérant.
À Paris, on s’habitue aux mecs imbuvables mais au bout de la 3e fois, on se dit qu’on peut prendre 5 minutes pour lâcher une étoile. Alors, bonne nuit étoilée, Martin !